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Le nouveau partenaire pétrolier de la dictature Djiboutienne

Après avoir expulsé les anciennes compagnies pétrolières (TOTAL, SHELL, MOBIL) à coup de procès, des menaces, d’harcèlements et de factures impayées, le régime dictatorial de Djibouti déroule le tapis rouge à sa nouvelle conquête appelée OiLibya.
Désormais tout le pays est sous le registre du nouveau fournisseur et acteur incontournable de la distribution des produits pétroliers en Afrique, tout en étant le seul maitre du monopole sans contraintes.
Depuis son siège à Dubaï, OiLibya gère ses 18 filiales en Afrique parmi lesquelles se trouve celle de Djibouti. 
Si OiLibya est fidèle à ses origines africaines en terme d’entreprise responsable et se comportant conformément aux valeurs éthiques africaines telles que : l’intégrité, l’honnêteté et l’équité.
Pourquoi ferme t ’elle les yeux sur l’affaire d’appropriation illégale des stations-service à Djibouti par le procureur promoteur corrompu Djama Souleiman Ali ? 
Il parait qu’à Djibouti derrière toute relation ou tout partenariat, règne tout un autre système de combine basé sur l’enrichissement illicite et illégale.
OiLibya n’est pas venue s’installer à Djibouti par hasard, si ce n’est qu’il y eut des prospecteurs et démarcheurs corrompus djiboutiens à la solde du régime pour préparer le terrain à la guise de ce dernier collaborateur.
Parmi eux figure, l’insatiable procureur prometteur et valet du couple présidentiel dictatorial d’Haramous, Djama Dhago alias 20%.
Il parait que ce dernier n’entend que les résonnances des liasses des billets, délaissant le droit et la justice au placard pour ne pas manquer le développement individuel dicté par son parrain dictateur Guelleh.
Comme la mafia camorra, toute la haute sphère de la dictature djiboutienne s’est regroupé dans la nouvelle cité Haramous loin de la misère djiboutienne.
Djama 20% s’est construit une résidence à trois pattés de la résidence de son protecteur dictateur Guelleh, et ne se prive en aucun cas de la luxure en voiture et autres accessoires.
Alors que la situation à Djibouti ne cesse de dégringoler, forçant son peuple à l’exil pour certains, et pour d’autres d’apaiser leurs mécontentements ou amertumes avec toute sorte de drogues (khats, hachich, alcool…etc.).