Eau potable et l’électricité de la Rép. Djibouti. (ONEAD/EDD).

L'eau est la source de vie, l’eau n'est pas nécessaire à la vie mais ELLE EST LA VIE.

L'eau couvre environ 70% de la planète, c’est à dire environ 1,4 milliards de km3.

C'est pour cela qu'on donne souvent à la terre le nom de la planète bleue. Bien qu’à Djibouti soit un pays désertique et aride.

Nous possédons une façade maritime de 314km, allant de la Mer Rouge à l'océan Indien, en passant par le détroit de Bab-el-Mandeb.

Cette façade s'étend du cap(Ras) Doumeira, au nord, au village de Loyada, au sud.

Le golfe d'Aden renforçant dans le continent par le biais du golfe de Tadjourah, prolongé par le Ghoubet-el-Kharab, née d'une ouverture du rift Est-africain.

Avec ce potentiel, les Djiboutiens/nes manquent cruellement d'eau potable, devenu une denrée rare.

Il vous faut une patience de fer, pour attendre l'eau du robinet coulé enfin, d’une lenteur exaspérante à la première lueur du soleil levant qui commence à blanchir l'horizon. Pour qu'à la fin, tu puisses remplir quelques jerricanes.

L’ONEAD a fait le choix de priver Certains quartiers de l’eau au profit des riches qui ne sont  autre que les entourages du dictateur Guelleh.

En cette période de chaleur caniculaire, la pénurie d'eau est une situation dans laquelle la demande en eau dépasse les ressources en eau disponible.

Certes, le dessalement de l'eau de mer a un coût et implique des investissements que le régime dictatorial en profite à savoir les financements de l’ONG, de l’Union Européenne et de l’ONU.

Des Projets et des forages fictifs qui n’aboutissent à rien.

En ce qui concerne, l’électricité à Djibouti géré par Djama Ali Guelleh depuis 42 ans qui n’est  autre le cousin du dictateur Ismail Omar Guelleh.

Sous sa responsabilité, Le pays traverse avec cette canicule de chaleur, des coupures fréquentes, des foyers condamnés dans l’obscurité et à des décès liés aux suffocations.

En effet, cette compagnie d’état dirigé par la famille Guelleh, qui a jadis connu des complications par le peu des machines dont elle disposerait a encore virée dans la folie en faisant l’interconnexion avec le géant voisin « l’Ethiopie » alors qu’à Djibouti la richesse en matière de l’énergie solaire, éolienne et la géothermie ne manque guère, entraînant ainsi une forte augmentation des prix.

Jusqu’à Aujourd’hui aucun responsable  n’ose admettre l’échec et maintiennent leurs faux promesses, ils sont plus occupés à danser, à chanter aux louanges du dictateur et à poursuivre les activistes sur les réseaux sociaux.

Sachant que la prison, la torture, les assassinats est leurs seuls armes tout en étouffant les libres penseurs.

Des jeunes, moins jeunes et des vieux ne sont pas épargnés par le faite de dénoncer la situation du pays (coupures d’eau, d’électricité, drogue, la défaillance de l’éducation et de la santé) etc...

Déclaration Universelle des Droits de l’homme « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »  (ONU, 1948, article 19).

Il est temps que les Djiboutiens/nes expriment leurs Ras-Bol.