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Pour faire taire l’opposition 
Tout les moyens sont bons au royaume  de Guelleh 

Ça Suffit..! Basta...! Aux arrestations arbitraires et détentions illégales.

Plusieurs instruments juridiques internes qu'internationaux garantissent les droits et libertés fondamentaux de l'homme :

Tout individu à droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. 
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumain ou dégradant. 
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

Tout individu a droit à la liberté et à la sécurité de sa personne. 
Nul ne peut faire l'objet d'une arrestation ou d'une détention arbitraire. 

Nul ne peut être privé de sa liberté, si ce n'est pour des motifs et conformément à la procédure prévue par la loi (Pacte international relatif aux droits civils et politiques, article 9 al 1). 

Toute personne arrêtée doit être immédiatement informée des motifs de son arrestation et de toute accusation portée contre elle et ce, dans la langue qu'elle comprend. 
Elle doit être immédiatement informée de ses droits. 
La personne gardée à vue doit être en contact avec sa famille ou avec ses conseils. (Constitution du 187 Février 2006, Article 18)

Djibouti, État signataire de la Déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH)
et toutes autres droits inhérents à toute personne humaine.

Bien que la Constitution djiboutienne garantisse les droits fondamentaux. 

La pratique de la détention arbitraire, les menaces, les intimidations et restrictions des libertés continue d’être utilisée par les autorités pour museler les opposants  politiques.

Le dernier en date étant celui des membres dirigeants du MRD.
Après, Mr Djama Houssein Robleh (Secrétaire Général) du MRD. La foudre s'abat sur l'assistante de ce dernier , Madame Filsan Ali aka Fifi Ali, mère d'un bébé de six mois et aussitôt relâchée après un élan de soutien et de solidarité des djiboutiens/nes, d'ici et d'ailleurs, ainsi qu'aux défenseurs des droits de l'homme.

Ce qui s’ensuit aux agressions manu-militari du  père de Fahmi et  de Warsama Laurent du mouvement des patriotes djiboutiens.

Ce régime moribond aux abois, comme à l'accoutumée, à la veille de chaque élection commence a intimider les hommes politiques de tous bords et les fervents défenseurs des droits humains à Djibouti.

Man Hassan 

À qui le tour ?